Mes bouquins refermÉs sur le nom de Paphos…
Mes bouquins refermés sur le nom de Paphos, Il m’amuse d’élire avec le seul génie Une ruine, par mille écumes bénie Sous l’hyacinthe, au loin, de ses jours triomphaux. Coure le froid avec ses silences de faux. Je n’y hululerai pas de vide nénie Si ce très blanc ébat au ras du sol dénie A tout site t’honneur du paysage faux. Ma faim qui d’aucuns fruits ici ne se régale Trouve en leur docte manque une saveur égale: Qu’un éclat de. chair humain et parfumant! Le pied sur quelque guivre où notre amour tisonne, Je pense plus longtemps peut-être éperdument A l’autre, au sein brûlé d’une antique amazone.
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